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******************************************************************************************************************** Les animateurs, les ATSEM et tous les agents municipaux travaillant dans le domaine de l’éducation demandent à être reconnus et entendus.

Être animateur ce n’est pas du bénévolat, ni un job d’appoint, c’est un métier à part entière.

Travailler auprès des enfants, transmettre, participer à leur éveil psychologique et affectif est d’une richesse incroyable. Mais aujourd’hui, le personnel est à genoux.

Le manque de moyens humains fait que tous les agents sont fatigués, sous-tension, le taux d’encadrement non réglementaire génère énormément de stress au niveau de la sécurité.

C’est parce qu’ils aiment passionnément leur métier et font preuve d’une grande conscience professionnelle que le système tient, mais pour combien de temps et dans quelles conditions de sécurité.

Tous ces professionnels de l’éducation n’ont plus l’impression de faire leur cœur de métier. Cela est source de frustration et de démotivation.

– Oui, à plus de moyens humains,

– Oui, à une revalorisation salariale, à la revalorisation du taux horaire,

– Oui, à la titularisation des contractuels,

– Oui, à l’arrêt des temps partiels imposés,

– Oui, à une réelle reconnaissance des missions,

– Oui, à une revalorisation du cadre d’emploi,

– Oui, au retour de taux d’encadrement non-dérogatoires,

– Oui, à l’accès à la catégorie B par concours, examen professionnel ou promotion interne,

– Oui, à la prise en compte des temps de préparation, de réunions dans le taux d’emploi,

– Oui, à la création d’une catégorie A dans la filière animation…

Pour toutes ces revendications, FO NE LÂCHERA RIEN !